Réforme de l'histoire et de la géographie au collège et au lycée.
Avant de penser à une réforme de l'enseignement de l'histoire et de la géographie, posons nous la question de l'utilité de la connaissance de ces deux matières. Combien d'enfants et de parents ont exprimé leur interrogation sur la connaissance de la date des batailles ou l'utilité de placer la Garonne sur notre territoire. Les pédagogues pourrait nous affirmer que cela développe notre mémoire et fait partie de la culture générale mais combien d'adulte on oublier leur cours d'histoire et de géographie.
Ces deux matières ne doivent pas se restreindre a un empilement de connaissance mais d'avoir la capacité de comprendre notre présent et de donner les moyens intellectuelles d'appréhender notre futur.
Si nous somme d'accord sur cet objectif, nous constatons que l'histoire et la géographie a un périmètre beaucoup plus vaste. A ces deux matières nous pouvons les fusionner au niveau scolaire avec l'économie, la sociologie et la politique. Ce socle deviendrait cours de culture générale et serait valorisé par sa richesse d'enseignement.
Afin que nos enfants enregistrent cette culture générale de façon optimale, l'approche dynamique et non statique de cette matière me semble approprié. L'histoire et la géographie sont paradoxalement des matières vivantes avec leur évolution dans le temps. L'approche dynamique de son enseignement serait par thème. Je vous donne quelques exemples pour illustrer ce choix. La migration des populations a travers l'histoire, l'évolution du trafic des marchandises, les progrès techniques et leur impacte et bien d'autres sujets aborder comme une continuité historique, géographique, économique, sociologique et politique. Cela permettrait, il me semble, une meilleur approche pour comprendre et enregistrer cet enseignement.
Cette révolution dans l'enseignement de ces matières demande une réflexion plus approfondie. Je laisse les spécialistes pédagogues pour élaborer les thèmes et leurs positions dans le programme scolaires.
Je suis bien conscient de la difficulté de réformer les programmes scolaires et de mesurer leur impacte sur les connaissances de nos enfants, mais je suis certain que les programmes actuelles de science humaine ne sont pas en adéquation avec les besoins actuelles de compréhension de notre présent et la capacité de nos enfants a concevoir notre futur.